Jonathan Simon
Clermont-Ferrand
Jonathan Simon de SĂ©verac alias JAYM officie, depuis l'Ăąge de 17 ans, dans divers thĂšme comme les photos de rue, des paysages, de l'urbex, de modĂšles hommes/femmes/familles, des Ă©vĂ©nements divers (mariages, baptĂȘmes, fĂȘtes, evjf...), Ă©galement de la macro, des textures, des prises de vues artistiques, ou simplement la rĂ©alisation de photomontages, mais encore pleins d'autres choses...
Pour lui tous les thÚmes photographiques sont passionnants et surprenants, il préfÚre néanmoins figer sur une image : l'humain et en particulier le sexe féminin. Il adore également capturer des instants de vies volés.
Avec la photo il essaie de vous montrer la vie telle que lui la voit, telle qu'il l'aime et telle qu'elle lui procure du plaisir, pour Jaymi tout est beau, tout est art, tout doit se regarder longuement et s'apprécier (ou pas). La photo lui permet de faire comme une pause infinie, sur un instant du temps qui passe, il veut figer éternellement un milliÚme de seconde du fil du temps qu'il trouve beau.
Clic... claque, c'est dans la boĂźte, il aime laisser un souvenir de ce qu'il a admirĂ©, par son clichĂ© il veut partager avec le public, lâĂ©motion qu'il a ressenti en prenant la photo, il veut laisser l'empreinte de son bonheur pour que celui-ci irradie tous ceux qui apprĂ©cient son travail ou pourrait le dĂ©couvrir.
Il ne cherche pas la perfection, au contraire elle l'ennuie, la plupart du temps il travail ce que l'on n'aime pas, ce qui est moche, flou ou ratĂ©, il va jouer avec ce que certains appels vulgairement de la "merde". Il n' y a rien de plus beau que l'imperfection car l'ĂȘtre humain est imparfait. Si un seul individu aime une de ses photos cela lui suffit il n'en demande pas davantage et encore plus si le clichĂ© suscite des dĂ©bats racoleurs et nĂ©gatifs, par ceux qui se pensent des Ă©thiques, car on parlera de son travail, de lui et il laissera son nom dans leurs esprits.